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Le stage en production de contenu chez Tink : vision d’une stagiaire

5 décembre 2022
Claudia

Moi, c’est Claudia. J’en suis à ma deuxième année au baccalauréat en communication appliquée (cheminement en rédaction) à l’Université de Sherbrooke. J’ai toujours été une mordue de la langue française et de la grammaire, et donc je n’ai jamais eu de doute qu’un futur emploi en rédaction m’irait comme un gant. Mais une question me reste tout de même : dans quel domaine est-ce que je veux faire carrière? Pas facile à répondre étant donné l’infinité de possibilités… Par chance, mon programme universitaire comprend trois stages coopératifs. En d’autres mots : l’opportunité rêvée pour enligner mes choix de carrière!

Dans le cadre de mon premier stage de 15 semaines, je me suis lancée dans le numérique, un monde tout plein d’avenir. Et laissez-moi vous dire que je n’ai aucuns regrets.


Pourquoi Tink spécifiquement?


Pour être honnête, Tink a tout d’abord attiré mon attention pour la formule télétravail à 100% qu’elle permettait à ses employés. Flexibilité, conciliation travail et vie personnelle, c’est important pour moi. Quoi de mieux que du télétravail pour répondre à ces besoins!

Il faut aussi dire qu’en effectuant mes recherches sur Tink, j’avais vraiment été impressionnée par la variété de ses clients (et la grosseur de ceux-ci!). Ce n’est pas tous les jours qu’on peut travailler pour des géants comme Metro ou Desjardins. À vrai dire, j’imaginais déjà mon sentiment d’accomplissement en rédigeant des textes pour des belles entreprises d’ici comme celles-là.

Finalement, j’avais une amie au sein de l’équipe des Tinkers qui me vantait le caractère humain de l’agence depuis qu’elle y était arrivée. Elle me répétait comment Tink était différente des autres agences, comment les employés étaient réellement écoutés et pris en compte. Je me suis embarqué dans l’aventure de mon stage un peu sceptique, mais tout de même optimiste.


Quelle était ma perception de l’agence en arrivant?


Lorsque je suis arrivée chez Tink à ma première journée, c’était la première fois que je voyais de « vrais bureaux ». J’avais juste cette image de gens tannés de leurs 9 à 5, scotchés à leur chaise toute la journée, comme on le voit dans les films. Mais cette journée-là, j’ai plutôt vu des gens souriants, contents d’être là. Je savais que j’étais au bon endroit.

Il faut dire que je l’ai vu dès mes premiers jours, le côté humain dont mon amie me parlait. Les gestionnaires étaient ouverts et accueillants. Ils prenaient en compte le fait que j’avais une vie en dehors du travail. Que j’aie besoin de m’absenter pour un rendez-vous médical ou que je veuille dormir un peu plus un matin, ils le comprenaient. « En autant que tu fasses tes heures et que tu ne manques pas de réunions », qu’ils me disaient avec un sourire en coin. C’était une belle première impression.


À quoi ressemblaient mes tâches?


Lors de mon stage, ma tâche principale était de produire du contenu pour Brunet. Il s’agissait surtout de la rédaction des infolettres hebdomadaires ainsi que d’articles beauté et santé. En réalité, rédiger des articles était l’une de mes tâches favorites, car j’en apprenais énormément sur des sujets variés. Outre les infolettres et les articles, je participais à des projets de rédaction tels que des pages Hub ou des FAQ pour des clients variés (Metro, Jean-Coutu, VIA Rail et j’en passe). J’appréciais beaucoup cette variété dans mon quotidien, car il m’est personnellement impossible de travailler sur la même tâche des heures d’affilée sans avoir le cerveau en bouillie. Je ne dois pas être la seule!
C’est important de le mentionner : pendant mon stage, j’ai appris que la production de contenu était plus que de la simple rédaction. En plus de rédiger des textes, j’ai entre autres dû coordonner le travail de bien des gens dans la chaîne de production de contenu. Cela voulait dire communiquer avec des spécialistes SEO, des réviseurs/traducteurs, des intégrateurs et d’autres professionnels afin d’assurer des mises en ligne aux moments prévus. C’était super intéressant de voir tout le processus derrière la publication d’un article ou l’envoi d’un courriel.

Aussi, entre deux infolettres et un atelier création, j’ai parfois eu la chance d’aider d’autres équipes dans leurs projets. À titre d’exemple, j’ai fait du contrôle de qualité de pages Web pour Abbvie et même de fiches-produits pour Jean-Coutu. Cela m’a permis non seulement d’explorer les tâches d’autres professionnels du numérique, mais aussi de rencontrer des équipes bien sympathiques.


Mon expérience en bref


Je recommanderais ce stage à 100 %. Non seulement j’avais des projets stimulants, mais j’étais aussi super bien encadrée. Il ne suffisait que d’un message texte pour rejoindre ma superviseure de stage, qui était toujours là pour répondre à mes questions. Au besoin, j’avais même des appels quotidiens avec elle pour ne pas rester bloquée dans ma rédaction. Je n’étais jamais laissée à moi-même! Et pourtant, j’avais droit à une grande liberté et autonomie dans mes projets. Le stage parfait, quoi!